Titre : Je ne cours plus qu’après mes rêves
Auteur : Bruno Combes
Editeur : Michel Lafon
Résumé :
Je m’appelle Louane, j’ai dix-huit ans. Ma vie est facile, enfin, je l’ai cru ; je ne me suis jamais vraiment posé la question. Jusqu’au jour où…
Je m’appelle Laurene, j’ai trente-neuf ans. J’ai cherché le bonheur et, en même temps, je l’ai fui dès qu’il s’approchait. Jusqu’au jour où…
Je m’appelle Louise, j’ai soixante-dix-sept ans. Mon existence m’a comblée et a été d’une parfaite tranquillité. Jusqu’au jour où…
Nous ne nous connaissions pas. Rien ne laissait prévoir l’aventure que nous allions partager. Nos vies allaient en être bouleversées.
Trois femmes, trois solitudes,
mais un point commun :
elles ne veulent plus renoncer à leurs rêves.
Mon avis :
Je tenais tout d’abord à remercier l’auteur Bruno Combes et Michel Lafon pour leur confiance lors de ce service presse.
Je lisais dans la semaine sur Facebook un début de chronique sur le livre qui l’indiquait comme le « meilleur » de l’auteur.
Je restais très sceptique, comment détrôner le couple emblématique Camille et Stephen ? Pour moi c’était impossible.
Et bien félicitations à Bruno Combes qui a appliqué à la lettre la devise de Nelson Mandela : « Cela semble toujours impossible, jusqu’à ce qu’on le fasse ». Il y est arrivé avec brio…
Je ne cours plus qu’après mes rêves est un livre d’une tendresse infime, d’une humilité à toute épreuve, d’une humanité hors du commun.
Si vous avez l’habitude de vous attacher aux personnages de l’auteur, vous ne pourrez réagir encore une fois différemment.
Les 3 L : Louane, Laurène et Louise, trois femmes complètement différentes, avec des parcours à l’opposé les uns des autres mais que le destin a décidé de réunir.
Elles vont nous entraîner dans une aventure, au départ complètement rocambolesque, mais qui va prendre tout son sens en arrivant à « El Sueno ».
Moi qui adore les poèmes de Federico Garcia Lorca, vous comprendrez que ce livre raisonne encore dans ma tête alors que la fin de ma lecture date de quelques jours.
A leurs façons, ces trois femmes vont venir vous frapper en plein cœur, venir trifouiller vos âmes pour vous faire comprendre l’essentiel, l’évidence : il faut vivre, chaque jour comme si c’était le dernier.
Ne jamais oublier nos rêves de petite fille, de jeune femme ou même de femme et il faut tout faire pour les réaliser.
D’habitude, les livres peuvent être des coups de cœur livresque mais pour moi Bruno Combes a réussi un coup de maître.
Longue vie à vos écrits et longue vie aux rêves de chacun…